Sunday, February 15, 2009

La punition corporelle dans le monde éducatif

Au 21eme siècle, ne doit-on pas supprimer cette pratique barbare?

La punition corporelle s’inscrit dans le system éducatif depuis des siècles malgré la mise en cause de son efficacité par les psychologues pour éduquer des enfants. Au 21eme siècle, ne doit-on pas la supprimer ? Celle-ci se pratique pour discipliner l’écolier. Quels troubles psychologiques suscite-elle ? Quelles lois pour protéger les enfants sont en vigueur en Inde, en France et aux Etats-Unis ?

D’abord, les professeurs exercent leur autorité sur les enfants par le châtiment cruel, une pratique dénoncée pourtant bien répandue. Ceux-ci, en particulier en Inde, n’hésitent pas à battre leurs étudiants au point de les blesser gravement : en février 2008, un écolier de huit ans a été battu au point de la mort par son proviseur.

L’un des problèmes que suscite la « correction physique » est du sentiment de l’humiliation ou de la honte. Certains déjà fragilisés perdent confiance en eux. Encore pire, certains sont si traumatisés qu’ils refusent d’aller à l’école. En outre, l’abus du traitement cruel pourrait entraîner la crise psychologique bien grave : un écolier dans le sud d el’Inde a été battu avec une violence si intense qu’il lui a fallu la suivie psychologique.

Alors, que faire ? La meilleure solution : la suppression fondamentale de cette pratique barbare. Cela a été mise en œuvre en 2000 en France et en 2000 à Delhi et dans les Etats de Goa, Andhra Pradesh et Tamil Nadu en Inde. Les Etats en Amérique sont partagés: 23 Etats l’interdisent tandis que les restes exigent l’approbation écrite de parents.

En bref, la situation s’améliore. Pourtant les enfants sont toujours soumis à la pratique brutale au détriment de leur état psychologique.

Ne doit-on pas sensibiliser et éduquer le milieu scolaire contre la punition corporelle, sur son inutilité, sur ses effets psychologiques négatifs?
Mots : 292

Saturday, February 14, 2009

Sachez équilibrer vos sentiemnts au bureau

L'ambiance de travail est un des critères le plus important pour les salariés, surtout comme ils passent la majorité de leur temps au bureau. Ils se prononcent (61 pour cent) pour une atmosphère détendue, c’est-à-dire la vie privée se mêle à la vie professionnelle. Doit-on pour autant privilégier les liens affectifs au profit de la vie professionnelle ? Entre les bénéfices d’une atmosphère agréable et les dangers qu’ils pourraient entraîner, trouver un équilibre est devenu un enjeu non négligeable.

Tout d’abord, les liens d’amitié qui nouent entre les salariés sont bénéfiques pour la productivité, la motivation et le moral. Ils leur permettent de travailler en équipe en harmonie dans un esprit de partage et entraide. Par exemple, deux salariés qui travaillent étroitement sur des dossiers peuvent arriver à se connaissent bien, presque comme bons amis. Mais dès que l’un des deux a eu la promotion à une position dominante, les attentes ont changé. L’employé promu doit assumer ses responsabilités d’être même dur et critiquer son ami. La plupart de temps, les relations se dégradent et nuisent l’ambiance au bureau.

En revanche, les collègues n’apprécient guère leur collaborateur même brillant mais peu sympathique. Comme s’est passé à une université où un professeur surdoué s’est vu sa promotion retardée par un an en cause de son comportement. Ses collègues l’ont trouvé trop arrogant.

En définitif, c’est donc impératif que les employés prennent grand soin de leur rapport avec leurs collaborateurs. Le mot clé est la « modération ».

Pour éviter de nuire l’ambiance, peut-on mettre en place des règles qui prohibent les dérapages ? Comment les Japonais gèrent la vie privé et la vie professionnelle où elles se mêlent fortement?