Tuesday, April 21, 2009

Les droits des animaux menacent les droits du peuple autochtone

Les défenseurs des droits des animaux imposent leur vision de la nature sur le peuple autochtone. Cette politique parfois très exigeante, parfois équilibrée menace la culture des aborigènes.

La prise de position des partisans des droits des animaux se différencie. Pour le Front libération des animaux : ils voient des choses de point de vue des animaux. Ils se montrent indifférents à l’humanité et à la science, même à la survie du peuple autochtone. Quant à la Commission baleinière, elle a imposé un moratoire sur la chasse à la baleine ainsi touchant la population côtière alaskienne. Enfin, la Greenpeace : elle reconnaît la culture au Grand Nord et préconise des mesures qui préserve à la fois la culture et la faune sauvage.

Les autochtones pratiques la culture qui privilégie l’autonomie. Ils vivent de la chasse des animaux pour se nourrir et se procurer leurs besoins matériels quotidiens. Ils considèrent que les adeptes des droits des animaux sont très éloignés de la réalité sur terrain et se présentent comme une menace sur leur mode de vie. Pas question de la changer pour une vie d’un ouvrier ou la dépendance sur la sécurité sociale. D’autre coté, les amérindiennes milite contre la tuerie des bisons pour préserver leur mode de vie. Pour eux, cet animal sacré représente leur spiritualité, leur nourriture.

La commission baleinière reconnaît des difficultés de sa politique: sauver la baleine ou la culture autochtone.

Mots 234

L’e-book entre dans la danse…..

C’est l’heure d’e-book. Il s’avance vers un succès grâce aux avancés technologiques, aux vastes choix de contenus, mais des défis restent encore à relever notamment sur leur prix.

Des multinationaux comme Sony mise sur le marché lucratif d’e-book en proposant une plateforme simple, légère et pas chère. D’abord, le livre électronique assimile désormais les pages du livre traditionnel tout en proposant les facilités d’informatique telle qu’agrandir les caractères. Ensuite, l’e-book profite de vastes contenus disponibles en divers formats sur Internet. Quant aux livres juridiques, techniques ou les encyclopédies, ils ne risqueraient plus d’être illisibles et périmés. Enfin, quant aux ouvres littéraires, elles seraient comme un livre de poche.

Des entraves dans le succès potentiel d’e-book : non-compatibilité entre les divers dispositifs mise en place contre le piratage, son coût. Le premier, similaire au marché de musique, peut être résolu. Le deuxième : selon le Syndicat national de l’édition, l’e-book coûte cher en raison de frais : numérisation, stockage, défense contre le piratage, les nouvelles politiques de diffusion-distributeur. Egalement, ce marché naissant ne bénéfice pas encore d’une TVA réduite. Puis, la question s’élève : doit-on fixer un prix bas d’e-book en comparaison avec p-book ? Le public estime qu’un prix réduit de 40% sera un encouragement à leur achat d’e-book.

L’avenir d’e-book s’annonce beau. Mais, le p-book n’est pas mort à condition que les éditeurs sortent de belles éditions.

Mots 230

Wednesday, April 15, 2009

L’orthographe déchaîne les passions

En France, l’orthographe reste un défi pour les lycéens comme pour les universitaires. Dans nombreux pays européens, les élèves maîtrisent bien leur langue maternelle sauf au Portugal, au Danemark et en Angleterre. Comme toujours la tentative d’améliorer la situation en simplifiant l’orthographe déclenche un débat vif entre les « modernes » et les « anciens ».

Toutes les efforts pour faire évoluer l’orthographe ou la simplifier ont échoué. Chez « moderne », il est nécessaire de corriger les « sottises » de la langue. A leur yeux, être puristes nuit à la langue française parce que le grand public a horreur de commettre des fautes. Egalement, des étrangers fuient le français pour aller vers d’autres langues. Pour les partisans de changement, la souplesse dans la langue française presenterait aussi une chance d’améliorer l’image de la Hexagone.

Quant aux « anciens », l’orthographe n’a pas évolué durant cinq siècles. On doit la maîtriser. L’échec. A qui la faute ? Ce n’est pas l’orthographe, mais c’est que les heures d’enseignement sont chutées de 1800 h à 1000 h. Puis, des carences pédagogiques demeurent. Pour sauver la langue de Molière, les puristes vantent ses atouts: l’apprentissage de la rigueur et réflexions sur la langue et son étymologie. Pour eux, même apprendre des exceptions, c’est une bonne pratique cérébrale.

Le billan: en France, l’assouplissement orthographique n’avance guère. En Allemagne, cela nuit à la vie familiale et scolaire.

Mots 230

Friday, April 10, 2009

Des rapatriés français et leur famille délaissés

En France, l’expatriation, un enjeu major pour les grands groupes multinationaux, s’accroit. Les cadres brillants partent à l’étranger pour avancer dans leur carrière. Au retour, ils confrontent aux problèmes inattendus sur le plan professionnel et familial. Des sociétés s’efforcent de mettre en place une politique afin de mieux gérer la carrière d’un expatrié, mais l’encadrement de la famille, c’est une autre histoire.

Une fois mission accomplie, l’expatrié sombre dans les difficultés liées au retour mal planifié : réintégration au giron de l’entreprise. Le rapatrié se trouve souvent déconnecté de l’entreprise. Même si son patron l’aide en lui offrant une poste convenable comme chef d’équipe, ses collègues le prennent comme un débutant et ne voient pas de bon œil sa position et ses compétences acquises lors de son séjours professionnel à l’étranger. Pour une meilleure réinsertion, par exemple, le group Lafarge propose l’expatriation gérée soigneusement. La mission étrangère ainsi que la réintégration s’inscrivent dans un véritable planning de carrière.

En revanche, l’entreprise reste sourde aux problèmes familiaux que soulève le rapatriement. D’abord, la famille ressent la perte de son statut social privilégié supposé. Ensuite, la conjointe, qui a parfois mis de côté sa carrière pour suivre son mari, doit gérer parfois toute seule son retour et de ses enfants. Enfin, les derniers partis à l’étranger parfois à l’âge bas risquent des troubles : choc culturel et réadaptions au retour en Hexagone.

Pour rester serein, organisez votre rapatriement en avance.

Mots 238

Saturday, April 4, 2009

Le mariage a la cote en France

Les robes de mariée dans la vitrine des designers parisiens, les éditions nuptiales destinées aux jeunes, l’augmentation de taux de mariage civil de même que le chiffre d’affaires de ce marché lucratifs, tous ces indices indiquent que les jeunes français privilégient encore le mariage, soit traditionnel, soit mixte, soit civile.

Jadis le mariage selon les cérémonies religieuses chrétiennes étaient la norme. D'après le père Dominique Salin, aujourd’hui si peu de couples y adhèrent, c’est par respect de cette tradition familiale. Pour les autres, le mariage dans l’église symbolise leur idéal d’une vie conjugale et familiale. La vie à deux apporte le bonheur, mais aussi entraine les problèmes parfois sérieux, comme ne pas avoir l’enfant rêvé. A cela ajoute, la gestion de la vie professionnelle et ses coups durs. Puis des événements forts comme faire des premiers choix leur apprennent la réalité dure de mariage. A quoi les mariés réagissent selon leur préparation au mariage religieux sans garanti, mais d’une valeur significative.

En 1999, nombreux étaient de mariages entre les français issus de milieux similaires. Le couple mixte, français-étranger - partenaires appartiennent au milieu différent. Ils font de leur mariage une expérience émotionnelle intense, une sorte d’euphorie, parfois une aventure sans approbation des proches. Le ménage mixte favorise la tolérance à la dissemblance, mais aussi peut être un lieu de difficulté interculturelle. Le mariage traditionnel ou mixte, le taux de divorce reste le même. Face à la question portant sur la religion, les mariés virent vers laïcité ou la mariée pratique la foi de son conjoint.

Mots 254