C’est l’heure d’e-book. Il s’avance vers un succès grâce aux avancés technologiques, aux vastes choix de contenus, mais des défis restent encore à relever notamment sur leur prix.
Des multinationaux comme Sony mise sur le marché lucratif d’e-book en proposant une plateforme simple, légère et pas chère. D’abord, le livre électronique assimile désormais les pages du livre traditionnel tout en proposant les facilités d’informatique telle qu’agrandir les caractères. Ensuite, l’e-book profite de vastes contenus disponibles en divers formats sur Internet. Quant aux livres juridiques, techniques ou les encyclopédies, ils ne risqueraient plus d’être illisibles et périmés. Enfin, quant aux ouvres littéraires, elles seraient comme un livre de poche.
Des entraves dans le succès potentiel d’e-book : non-compatibilité entre les divers dispositifs mise en place contre le piratage, son coût. Le premier, similaire au marché de musique, peut être résolu. Le deuxième : selon le Syndicat national de l’édition, l’e-book coûte cher en raison de frais : numérisation, stockage, défense contre le piratage, les nouvelles politiques de diffusion-distributeur. Egalement, ce marché naissant ne bénéfice pas encore d’une TVA réduite. Puis, la question s’élève : doit-on fixer un prix bas d’e-book en comparaison avec p-book ? Le public estime qu’un prix réduit de 40% sera un encouragement à leur achat d’e-book.
L’avenir d’e-book s’annonce beau. Mais, le p-book n’est pas mort à condition que les éditeurs sortent de belles éditions.
Mots 230
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