La prise de position des partisans des droits des animaux se différencie. Pour le Front libération des animaux : ils voient des choses de point de vue des animaux. Ils se montrent indifférents à l’humanité et à la science, même à la survie du peuple autochtone. Quant à la Commission baleinière, elle a imposé un moratoire sur la chasse à la baleine ainsi touchant la population côtière alaskienne. Enfin, la Greenpeace : elle reconnaît la culture au Grand Nord et préconise des mesures qui préserve à la fois la culture et la faune sauvage.
Les autochtones pratiques la culture qui privilégie l’autonomie. Ils vivent de la chasse des animaux pour se nourrir et se procurer leurs besoins matériels quotidiens. Ils considèrent que les adeptes des droits des animaux sont très éloignés de la réalité sur terrain et se présentent comme une menace sur leur mode de vie. Pas question de la changer pour une vie d’un ouvrier ou la dépendance sur la sécurité sociale. D’autre coté, les amérindiennes milite contre la tuerie des bisons pour préserver leur mode de vie. Pour eux, cet animal sacré représente leur spiritualité, leur nourriture.
La commission baleinière reconnaît des difficultés de sa politique: sauver la baleine ou la culture autochtone.
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